dimanche 13 mars 2016

Les missions d’un Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD)



Les missions d’un Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD)

 Les missions d’un Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) sont définies dans le cadre des politiques sanitaires et sociales à l’échelle nationale.
Le Département de Seine-Saint-Denis a défini dans le cadre de son schéma départemental en faveur des personnes âgées quatre bassins gérontologiques, territoires d’action qui doivent faciliter l’articulation entre les institutions, le travail en réseau des différents professionnels et une prise en charge globale et cohérente des personnes âgées en perte d’autonomie.
Notre établissement dépend donc du bassin gérontologique du Nord-Est de la Seine-Saint-Denis.








     
La volonté des personnes âgées de vivre le plus longtemps possible à domicile, a engendré une entrée en établissement plus tardive.
En conséquence, le schéma gérontologique demande aux établissements d’évoluer vers une prise en charge plus adaptée à l’alourdissement de la dépendance par la création d’unités dédiées (pôle d’activités et de soins adaptés PASA, unité protégée UP). Il demande également aux EHPAD de travailler en réseaux avec les différents acteurs de la filière gériatrique (équipe mobiles de gériatrie externe EMGE, hospitalisation à domicile HAD, équipes de soins palliatifs).
L’objectif principal étant de : donner du sens à la vie des personnes très dépendantes et solliciter les sens. Il s’agit donc de personnaliser l’accompagnement des personnes âgées dépendantes afin de leur apporter un réel bien-être.


mercredi 10 février 2016

EHPAD KORIAN MARISOL-Sevran Livry




La résidence Marisol propose tout au long de l’année des repas confectionnés par notre chef cuisinier au prix de 12€.
Un menu comprenant un apéritif, une entrée, un  plat et un dessert.
Pour y participer, il est indispensable de nous confirmer votre présence par téléphone au 01.49.36.40.40.



dimanche 7 février 2016

l'isolement et la perte d'autonomie







L’isolement des personnes âgées et leur perte d’autonomie est un défi social relevant non seulement des pouvoirs publics mais de tout un chacun.
Face à une espérance de vie grandissante, il est impératif de développer une politique de prévention. Celle-ci devra être relayé non seulement par les pouvoirs publics mais également les acteurs les plus divers : aidant familiaux, professionnel de santé, association, ou encore les établissement médico-sociaux.


Selon l’ARS : « L’isolement social constitue sans conteste un facteur de fragilité et de vulnérabilité et, par conséquent, un risque de perte d’autonomie. La multiplicité des acteurs et des financeurs (caisses de retraite, départements, assurance maladie, ARS,) ne facilite pas la mise en place d’actions transversales et globales de prévention.au service d’une prise en compte globale du vieillissement dans les politiques publiques. Il faut donc mener des actions de prévention diversifiées et complémentaires aussi bien pour les personnes âgées à domicile que pour celles accueillies en établissement. Dans les EHPAD, il convient également de mettre en place des mesures de prévention dans plusieurs domaines qui touchent à la qualité des soins et de la prise en charge : nutrition, santé bucco-dentaire, risques infectieux. »
 On peut noter que les personnes âgées constituent une part importante des patients pris en charge par les professionnels de santé. La priorité donnée à l’objectif de maintien à domicile des personnes âgées dépendantes est étroitement liée à l’intervention de différents acteurs et de structures alternatives comme les centres de santé et les centres de soins infirmiers, les établissements pour personne âgée dépendante.
Récemment, une loi a été promulgué celle du 1er janvier 2016 se voulant en faveur du maintien à domicile.
        On est en droit de se demander :  palie-t-elle vraiment à l’isolement de la personne âgée?  
« Améliorer le quotidien des personnes âgées en perte d'autonomie vivant à domicile et celui de leurs proches aidants. Améliorer ce quotidien grâce à de nouveaux droits.
C'est l'esprit de la loi d'adaptation de la société au vieillissement entrée en vigueur le 1er janvier 2016. Dès cette nouvelle année 2016, les seniors auront donc plus de moyens pour bien-vieillir à domicile. Une heure d'aide à domicile supplémentaire par jour pour les personnes les plus dépendantes et une heure par semaine pour les autres. Des aides financières pour adapter le logement ou accéder aux nouvelles technologies comme les bracelets détecteurs de chute ou encore la téléassistance. Des aides pour permettre à la personne âgée de rester à domicile pendant que son proche aidant fait une "pause". »
 Autrement dit, il s’agirait de maintenir la personne âgée à domicile à partir d’objets connectés, leur rôle est la prévention des incidents domestiques.
Pourtant, ces derniers ne représenteraient pas un danger, dans la mesure où cela pourrait être nocive pour la personne âgée.
 Les aides techniques et l’aménagement du logement varie selon le degré de dépendance de la personne âgée, elles devront donc s’adapter au profil de l’individu.
 Toutefois, les interventions au domicile ne peuvent remplacer une présence quotidienne et ne semble pas pouvoir répondre parfaitement au problème de l’isolement.
         
        Par ailleurs, on remarque qu’il existe une pluralité de dispositif dont des campagnes menées par l’Institut national de la prévention et de l’éducation à la santé.
 On peut recenser certaines mesures tels que celle la mise en place à Paris appelée la colocation intergénérationnelle. Se voulant en faveur du maintien du lien social, elle tente d’être un remède à l’isolement, inexistante en Seine-Saint-Denis. Celle-ci a cependant, su développer une autre forme de prévention en faveur des personnes âgées.  Pour renforcer la sécurité des personnes en situation de fragilité ou d’isolement, le Conseil départemental met à leur disposition un service de téléassistance. Elle consiste à mettre à disposition des bénéficiaires un matériel leur permettant d’être connecté à une centrale de veille qui réceptionne leurs appels. Si la personne ressent un petit malaise, ne se sent pas bien ou n’a pas réussi à joindre des proches, il lui suffit d’appuyer sur son pendentif ou son bracelet pour déclencher l’appel. Un système d’appel qui leur permet également d’être enclenché lors de solitude, coup de blues. Un personnel formés est alors informé pour répondre à leurs appels de détresse, d’urgence où de convivialité.                                                                                   
  Depuis le 1er mars 2012, la société Vitaris, est le nouveau délégataire de ce service public. Il intervient sur l’ensemble du département.                                                                                  Si l’usager décide de s’abonner à la téléassistance, il remplit une fiche où sont notifiées les coordonnées des proches, généralement celles des enfants ou d’un voisin. Quand la centrale de veille reçoit un appel dont l’urgence n’est pas manifeste, elle contacte les proches pour s’assurer que tout va bien. En cas d’urgence, les secours sont immédiatement alertés ainsi que la famille. Toute personne, quel que soit son âge, confrontée à une situation de perte d’autonomie temporaire ou permanente due à la maladie, au handicap, à l’âge ou à l’isolement peut bénéficier de la téléassistance 93. Les frais d’installation sont gratuits par contre l’abonnement mensuel est de 8,80 euros.
Concernant, la collocation intergénérationnelle, apparu en Espagne dans les années 90. Cette dimension intergénérationnelle a investi les politiques ; fait désormais partie de la politique de la ville. Il repose sur l’idée d’un logement en échange d’un service rendu. C’est la rencontre entre deux personnes un senior et un étudiant ayant chacun un besoin un logement pour l’un et une présence pour l’autre.  Il s’agit d’un moindre isolement, une présence divertissante, un soutien domestique dans le cas d’handicap physique, temporaire ou léger, une présence rassurante.
 Les personnes âgées sont des personnes vulnérables le devenant plus lorsqu’elles sont seules à domicile. Elle se présente comme une solution idéale de solidarité partagée entre les seniors et des individus d’autres tranches d’âge. Il s’agit de fournir un soutien non seulement au sénior mais également à l’étudiant, tout en favorisant le maintien du lien social.
Lors de l’enregistrement, on constate qu’il s’agit d’une mesure phare néanmoins restreinte au département parisien. Innovante, la colocation intergénérationnelle ne pourrait non pas relayer les services de soins à domicile mais sans doute les avertir, et favoriser le maintien à domicile des personnes âgées. Illustrant un thème d’actualité sur lequel les pouvoirs publics portent leur action, celle-ci permet d’informer la population sur la situation des personnes âgées isolées et l’existence de solutions. ( lien portant sur la cohabitation intergénérationnelle : https://www.youtube.com/watch?v=CrJaOKOFSho)
Les campagnes de prévention ne sont pas les seuls outils préventifs, d’autres dispositifs existent tels que le Téléphonages mis en place en 2009 par le Centre Communal d’Action Sociale de Nancy. Le système est simple, toute personne de plus de 60 ans peut s’inscrire et demander à être appelée, à une heure précise, dans la semaine, par un bénévole. Des mesures non connues du grand public, si on regarde les villes voisines elles peuvent inspirer les pouvoirs locaux ou encore les collectivités territoriales. L’isolement est une question sociale devenant une priorité majeure depuis le traumatisme créé par la canicule de 2003. Une mobilisation des acteurs (bénévoles, municipalité) est certes difficile sur le terrain on peut noter qu’à Paris la collocation avec les personnes âgées est un retour du procédé. En logeant un étudiant sans contrepartie financière ce dernier apporte un soutien moral, physique permettant d’éviter toute prise de risque, danger pouvant survenir au public personne âgée.
La prise en compte des conséquences du vieillissement et de la perte d’autonomie impose certaines conciliations financières vis à vis des pouvoirs publics. Elles portent précisément sur la partie des subventions accordées pour les aides à domicile et à l'évolution des services de soins, à la prévention et à la téléassistance médicale. Cette médiation se fait maintenant dans une atmosphère tendue pour les collectivités et les familles. La réticence des professionnels de santé dans les territoires fragiles (milieu rural ou milieu urbain) amène les collectivités à mettre en place certaines politiques incitative afin de favoriser le maintien ou l'installation de ces professionnels.

Nous pouvons constater que le vieillisse​ment de la population a un enjeu économique majeur. En effet, l'augmenta​tion des seniors, en France, amène à développer un nouveau marché. En dépit de dispositif que l’on peut qualifier de classique tels que les aides techniques à domicile que proposent les services d’aide à domicile, d’autre deviennent encore plus innovante. On a pu identifier des outils technologiques en faveur du maintien à domicile pour les personnes âgées, se développe en parallèle des méthodes d’assistance (téléassistance, télémédecine). Néanmoins, cela reste discutable en matière de cout et face un isolement de plus en plus croissant. 

mercredi 3 février 2016

maison de retraite la loi du 2 janvier 2002

La loi n°2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale a notamment pour objectif de développer les droits des usagers fréquentant les établissements, services sociaux et médico-sociaux.

Les  sept outils pour l’exercice de ces droits
I. Le livret d’accueil
(Circulaire du 24/03/2004)
Il doit être remis à la personne prise en charge ou à son représentant légal lors de l’accueil.

Ce livret comporte en outre la charte des droits et libertés des personnes accueillies et le règlement de fonctionnement définissant les droits et les devoirs de la personne accueillie ainsi que les obligations et devoirs liés à la vie collective.
II. La charte des droits et libertés de la personne accueillie
(Arrêté du 08/09/2003)
Elle doit être remise à chaque résident admis dans une institution sociale ou médico-sociale, c’est-à-dire un établissement ou un service pour personnes âgées, pour adultes handicapés, ou pour adultes en difficulté sociale… Elle est annexée au livret d’accueil.

III. Le contrat de séjour ou le document individuel de prise en charge
(Décret du 14/11/2003)
Ce document est établi en cas de séjour continu ou discontinu d’une durée supérieure à deux mois. Signé dans le mois qui suit l’admission, le contrat devra notamment mentionner la durée du séjour, les prestations fournies, les soins dispensés, le coût du séjour…
IV. La personne qualifiée
(Décret du 14/11/2003)
Toute personne prise en charge par un établissement (ou sa famille ou son représentant légal) peut faire appel, en vue de l'aider à faire valoir ses droits en cas de litige, à une personne qualifiée qu'elle choisit sur une liste établie conjointement par le Préfet de Département et le Président du Conseil Général. La personne qualifiée rend compte de ses interventions aux autorités chargées du contrôle des établissements ou services concernés, à l'intéressé ou à son représentant légal dans des conditions fixées écrêté en Conseil d'État.

Dès la fin de son intervention, la personne qualifiée informe le demandeur d'aide ou son représentant légal des suites données à sa demande. Les coordonnées des personnes qualifiées sont à demander au sein de chaque institution.

V. Le règlement de fonctionnement de l’établissement ou du service
(Décret du 14/11/2003)
Dans chaque établissement et service social ou médico-social, il est élaboré un règlement de fonctionnement qui définit les droits de la personne accueillie et les obligations et devoirs nécessaires au respect des règles de vie collective au sein de l'établissement ou du service. Il est remis avec le contrat de séjour et doit être affiché dans les locaux.
Le règlement de fonctionnement est établi après consultation du conseil de la vie sociale.
VI. Le conseil de la vie sociale
(Décret du 25/03/2004)
Il a pour vocation d'associer les usagers, les familles, le personnel à tout ce qui concerne le fonctionnement de l'établissement. A cet effet, les membres du conseil émettent des avis et font des propositions, en particulier sur :
• la vie quotidienne, l'organisation interne (règlement intérieur), l'animation et la vie culturelle.
• le fonctionnement, la tarification, les travaux d'entretien.

Le conseil est composé d'au moins :
• deux représentants des personnes accueillies ou de leurs représentants légaux,
• un représentant du personnel,
• un représentant de l'organisme gestionnaire.

A noter : lorsque le conseil de la vie sociale n'est pas mis en place, une instance d'expression et de participation doit être instituée. Même en l'absence de désignation de titulaires et de suppléants, le conseil peut être mis en place. Dans ce cas, les représentants des personnes accueillies doivent constituer plus de la moitié du nombre total des membres désignés.
VII. Le Projet d’Établissement

Les établissements pour personnes âgées, par la signature de la convention, s’engagent dans une démarche d’amélioration de la qualité via le projet d’établissement qui doit définir les objectifs d’évaluation des activités et de la qualité des prestations. Cette démarche est précisée pour chaque institution dans la convention tripartite conclue entre l’établissement, l’autorité compétente pour l’assurance maladie et le Conseil Général du Département.

lundi 1 février 2016

Zoom sur KORIAN MARISOL


Historique de l’établissement
La maison de retraite KORIAN MARISOL, S.A.S a été ouverte en 1999. Originellement gérée par des propriétaires indépendants, Korian Marisol à conserver une culture familiale très présente, notamment dans l’agencement et la décoration des locaux qui garantissent une haute qualité d’accueil et de confort.
Au gré des divers rapprochements et concentrations qui se sont succédés depuis son ouverture, Korian Marisol a d’abord rejoint le groupe MEDIDEP en 2002, puis SUREN-MEDIDEP en 2004 devenu par la suite KORIAN en 2006, un des premiers groupes européens de la prise en charge de la personne âgée.

La capacité d’accueil
La résidence offre une capacité de 84 lits répartis sur 75 chambres dont 9 doubles, et 66 chambres simples dont la superficie varie de 18 à 28 m².

L’implantation géographique
La résidence KORIAN MARISOL est  située dans un environnement citadin (proche du centre-ville), calme, à proximité immédiate de passages piétons et proche de petits commerces facilement accessibles : coiffeur, pharmacie, cafés, marchand de journaux, boulangerie…. Un marché a lieu tous les mardis et jeudis matins.

La résidence est facilement accessible en voiture ou en bus de ville, elle est également située à quelques minutes à pieds de la station de RER B Sevran-Livry.
Par ailleurs, la résidence est implantée à quelques centaines de mètres du parc de la Poudrerie et du Parc des Sœurs qui peuvent être des lieus de promenade familiale.
L’établissement dispose d’un parking pour les visites des familles, les acteurs externes ainsi que pour le personnel.

Les missions d’un Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD)

Les missions d’un Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) sont définies dans le cadre des politiques sanitaires et sociales à l’échelle nationale.

dimanche 31 janvier 2016

la cuisine thérapeutique



Parmis les animations proposées par la structure la cuisine thérapeutique remporte un franc succès


ehpad

L'animation atout cœur du groupe KORIAN.                                                                              
   Au sein de la maison de retraite, l'animation constitue une place importante à la fois ludique et thérapeutique. des unités d'animations sont effectuées par les équipes soignantes, réalisés par l'animatrice et la psychomotricienne.
Les animations à visées ludiques, peuvent être très variées en fonction des goûts des résidents. Il peut par exemple s’agir d’activités artistiques : atelier poterie, peinture, modelage, chorale…La maison de retraite Marisol a mis en place des ateliers cuisine, jardinage. On trouve également des ateliers lecture, ou écriture.
Les animations à visée thérapeutique utilisent le jeu pour favoriser le maintien de l’autonomie des résidents. En voici quelques exemples :
  • jeux de mémoire ;
  • jeux de ballon (travail de l’équilibre et renforcement musculaire) ;
  • musicothérapie ;
  • promenade dans un jardin thérapeutique pour éveiller les cinq sens ;
  • cuisine thérapeutique
En dehors de ces animations quotidiennes, certains événements reviennent régulièrement tel que les fêtes Noël, la fête des voisins. les résidents sont en général associés à la préparation de ces événements.
  • organisation de journées à thème, avec décoration des salles à manger, repas thématique
  • célébration des anniversaires des résidents
  • fête des familles
  • goûters et thés dansants

EHPAD KORIAN MARISOL-SEVRAN LIVRY

BREF DESCRIPTION
La maison de retraite Korian Marisol se situe dans le centre de Sevran, à proximité de Paris. Son jardin et sa terrasse aménagée lui confèrent un calme reposant et une atmosphère chaleureuse. L'établissement accueille les personnes âgées autonomes ou dépendantes pour des courts ou longs séjours. Sa mission principale consiste à offrir à chaque résidant des soins personnalisés et un accompagnement permanent dans le respect de ses habitudes dans un cadre confortable, convivial et entièrement sécurisé.
La prise en soin repose sur un projet de soin individualisé, qui permet un accompagnement quotidien fondé sur le respect de la personne âgée, de ses habitudes, de ses volontés et de son rythme de vie.
Le suivi médical est assuré par le médecin coordonnateur qui supervise la cohérence du parcours de soins et l'infirmière coordinatrice, en relation avec le médecin traitant du résidant. l'établissement est composé :
  • Séances de Kinésithérapie
  • un jardin et une terrasse aménagée particulièrement agréables aux beaux jours
  • 4 soignantes certifiées par l'ARS
  • un centre facilement accessible en train et en bus.